Solitaire mais jamais seul,

Calme et observateur,                                                                       <======**MOA**======>                               

Pacifique mais agressif

moment d'enervement 

se matin il est 9h57 je devrais etre en train de perdre mon temps en cour de physique mais ayant raté mon reveill .... raté mon train .... mettre foutue dans le champs avec ma moto .... je ne vais pas allé perdre mon temp au lycée se matin au grand déséspoir de mes congéneres ....

Alor que nous représentons la majorité nous avons tous peur de nous demarqué  enfin a l'heure ou l'image du Che se retrouve vendu par des sociétés , il ne fau pa trop leur en demandé ....

bn.....

L'avenir d'hier n'est déjà plus qu'un spectre dépassé ... Sous mon lit les fantômes s'agitent . Je regarde passer les nuages et s'en devient comme un jeu névrotique: je devine le temps qui s'écoule ou plutot je dévine cette structure énigmatique qui me tue .... Ce n'est pas une de ces nuits où le ciel dévoile son impudeur, non, c'est une nuit de sagesse, une nuit d'ennui sombre et mélancolique . Et face au temps je meurs.... car comme touss mon esperance de vie tombera a zero sur une duré assez longue car toute choses meurt .je n'ai pas trouvé de meilleur ennemi que l'ennui. C'est alors que je me rends compte que la vie n'est que perte, que chaque seconde est le décompte d'un souffle, et que le passé n'est autre que le sourire d'un instant que l'on attend toute une vie. Oui, le passé c'est ce que l'on croit longtemps inaccessible, et qui le redevient dès qu'on sait que ça ne l'était pas. Ni le passé ni le futur n'existent, le futur est simplement l'imagination, et le passé n'est que le vestige de cette imagination. Je voudrais peindrela nuit  pour que jamais le jour ne se leve. Ces gris timides et ces gris obscurs, ces noirs imités et ces ombres mesquines, la nuit en cette heure me parait grotesque! L'aube est si loin, et ma solitude si propice...  Illustrant par mille fantaisies le passé et le futur, je tente d'occulter leur terrible cruauté. Mais rien n'y fait! Rien n'y fait. Je demeure assis sur la branche de cette arbre , apercevant ma chambre par la fenetre et ne voyant que mon lit lieu ou nous gachon 1/3 de notre vie a dormir ....et tandisque je denigre le sommeil c'est lui qui me vien en aide quand les heure son trop longue  et que mon ame ne supportant plus linactivité chronique ne cherche qu'a s'echapper vers un univers onirique , . Comme souvent...

Bn....

Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme,
Ce beau matin d'été si doux:
Au détour d'un sentier une charogne infâme
Sur un lit semé de cailloux,

Le ventre en l'air, comme une femme lubrique,
Brûlante et suant les poisons,
Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique
Son ventre plein d'exhalaisons.

Le soleil rayonnait sur cette pourriture,
Comme afin de la cuire à point,
Et de rendre au centuple à la grande Nature
Tout ce qu'ensemble elle avait joint;

Et le ciel regardait la carcasse superbe
Comme une fleur s'épanouir.
La puanteur était si forte, que sur l'herbe
Vous crûtes vous évanouir.

Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride,
D'où sortaient de noirs bataillons
De larves, qui coulaient comme un épais liquide
Le long de ces vivants haillons.

Tout cela descendait, montait comme une vague
Ou s'élançait en pétillant
On eût dit que le corps, enflé d'un souffle vague,
Vivait en se multipliant.

Et ce monde rendait une étrange musique,
Comme l'eau courante et le vent,
Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique
Agite et tourne dans son van.

Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve,
Une ébauche lente à venir
Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève
Seulement par le souvenir.

Derrière les rochers une chienne inquiète
Nous regardait d'un oeil fâché,
Epiant le moment de reprendre au squelette
Le morceau qu'elle avait lâché.

- Et pourtant vous serez semblable à cette ordure,
A cette horrible infection,
Etoile de mes yeux, soleil de ma nature,
Vous, mon ange et ma passion!

Oui! telle vous serez, ô la reine des grâces,
Apres les derniers sacrements,
Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses,
Moisir parmi les ossements.

Alors, ô ma beauté! dites à la vermine
Qui vous mangera de baisers,
Que j'ai gardé la forme et l'essence divine
De mes amours décomposés!

Oyé Noble voyageur

qui que vous soyez Vampire, Démons , Ames dechus ou pauvres mortel

Bienvenue dans mon univers

La ou la lumiere ne fait point son apparition

Ou les ténèbres son un lieu de prédilection

Et la vie une triste malediction

Je vous invite a découvrir , avec une sombre melancolie le coté obscur de notr monde

voila pour la petite entré , je m'apelle benjamin alias b-n le reste vous n'avez pas besoin pour le moment de le savoir :)