La maladie et la Mort font des cendres
Comme le feu qui dans son Coeur flamboya
Qui, comme lui , meurt sans pouvoir le rendre
Au vil scelerat qui le tua
Le paysage trist et inospitalier
M'apparait comme une peinture inachevé
Que le peintre ne finirait , que par lebauche d'un souvenir
Je vous laisse alor dans un dernier soupir
Commencer ce jour noir plus trist que les nuits
Ou l'esprit gemissant est en proie a l'ennui ...
J'en retourne alor a mon lit fleurdeliser
Qui na pas su rechauffer ce cadavre hébété...